Quand une start-up française est rachetée par une société américaine, nous assistons à l’équivalent d’un opéra de cocoricos obligés, interprété parmi les principaux ténors officiels de l’écosystème national. Leur chant de gloire semble se soucier très peu des conditions réelles du transfert de propriété.
Il faut dire que cette occasion de célébration ne se présente pas tous les jours…
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